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Catastrophe de l'Airbus: Les dernières minutes du vol AF 447

Les quatre dernières minutes- document mis en ligne par le quotiiden brésilien"Jornal da tarde" de Sao-Paulo qui se le serait procuré par une "Source d'Air France"...?

23 h: le commandant du vol AF 447 envoie manuellement un message informant que l'avion traverse une zone de fortes turbulences au-dessus des «cumulus nimbus», nuages noirs très chargés. Jusque-là, pourtant, tout va bien.

23h10, première alerte: «Autopilot disengaged». Le pilote automatique, qui normalement doit être en charge dans cette phase du vol, est déconnecté. A la même heure, autre alerte: l'appareil vole en régime dit d'«Alternative Law», un système auxiliaire qui se déclenche automatiquement suite à une panne électrique.

23h12:
2 autres dispositifs fondamentaux tombent en panne. Le premier, appelé Air Data Inertial Reference Unit, contrôle et indique aux pilotes, sur les moniteurs, des données comme l'altitude et la direction de l'avion. Le second, appelé Integrated Standby Instruments System, est un écran auxiliaire qui indique des données comme la vitesse verticale et l'altitude de l'avion.

23h13: panne d'un système lié à l'ordinateur principal (Prim 1) et du système auxiliaire (Sec 1), responsable des spoilers (partie mobile des ailes utilisée dans l'atterrissage). L'A330-200 est équipé de certains dispositifs de secours pour ces situations mais ceux-ci n'ont apparemment pas fonctionné ou qu'ils n'ont pas été déclenchés.

23h14: «Cabin Vertical Speed». C'est la dernière alerte. Selon des pilotes cités par le journal, celle-ci signifie que de l'air extérieur est entré dans la cabine, ce qui peut signaler su'il y a eu une dépressurisation de l'intérieur de l'appareil ou que l'avion était déjà en perdition...


Une succession de pannes électriques qui ont placé l'aéronef en situation périlleuse; question:l'équipage pouvait-il agir sur celles-ci ou le niveau de panne étant tel, qu'il ne lui était pas possible de rectifier la situation et dans ce cas pour quel raison. Les experts du BEA français devront établir pourquoi.

Si les boîtes noires sont récupérées et exploitables elles devraient permettre d'apporter des réponses.

Image jpg d'un cockpit d'A330-200 par Craig Murray


Mise à jour, nouveaux développements dans cet" accident":



PETITE REVUE DE PRESSE Blog Ouvert le 5 juin 09 à 8h00- L'assurance des responsables brésiliens semble faire place au sceptisisme depuis hier après-midi; en effet , la pièce blanche repérée s'avère être en bois or, il n'y a pas de bois dans les avions modernes; les traces de kérozène sont en fait des traces d'huile de bateaux, la bouée orange est celle d'un navire etc.... Malgré celà le collationnement des témoignages de pilotes d'avions(une dizaine) qui étaient à le même heure que le vol Air France dans la zone supposée du crash va permettre de faire [...]
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