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"Meurtres en Auvergne" MERCREDI 1er JANVIER 2020 à 21H05 sur FRANCE 3
Bande Annonce
Résumé succinct:
Le corps d'une jeune femme est retrouvé près du sinistre et sombre lac Pavin, dans le Puy de Dôme en région Auvergne.
La mise en scène du meurtre est fort troublante pour les enquêteurs, car elle évoque une légende locale...
Selon ce mythe, les pécheurs de Besse, provoquant, par leurs actes, la colère de Dieu, ont été ensevelis, puis recouverts
par les larmes du diable.
Une autre légende qui a cours localement raconte que, si on jette une pierre en plein milieu du lac, il se réveille et qu'un jet de pierres le 31 décembre à minuit permet d'entendre les cloches de l’ancienne église de Besse, sonner...
Mais l'assassin considérait-il sa victime comme étant une pécheresse ?
C'est en tous cas la question qui s'impose aux deux enquêteurs
En compagnie de l'adjudante chef Aurélie Lefaivre, le capitaine Romagnat mène une enquête d'autant plus délicate qu'il connaissait la victime...
Il va devoir faire abstraction de cet élément très ennuyeux qui pourrait compromettre le résultat de l'enquête... s'il était révélé.
Et ce simple fait aurait d'ailleurs suffi à le faire dessaisir de cette affaire.
REPLAY-REVOIR SUR FRANCE 3 "Meurtres en Auvergne"<
SUIVI DE " Meurtres à l'Abbaye de Rouen:
BANDE ANNONCE "Meurtres à l'Abbaye de Rouen"
Image jpg ci-dessus L'officier de police Didier Mège et la journaliste Eva Chene dans l'abbatiale Saint-Ouen
Série TV des" MEURTRES à...
Sorti en 2013, durée 96 minutes
Au casting: Frédéric Diefenthal (Didier Mège officier de police), Isabel Otéro (Eva Chene), Saïda Jawad (Leila), François Levantal (François ou Gégé), Natalia Dontcheva (Jeanne), Pierre Vernier (Dominique Mège), Mathilde Lebrequier (Marianne)
Résumé long de BlogOuvert:
Le capitaine de police Didier Mège, revient dans sa ville natale de Rouen, alors que sa demande d'affectation a été acceptée, laquelle fait suite à son souhait de se rapprocher de son père dont la santé est déclinante depuis quelques-temps.
A peine arrivé et installé, il est appelé d'urgence dans le centre-ville, on vient de découvrir un mort dans des conditions pas encore élucidées mais qui peuvent être suspectes...
En effet, on a retrouvé un corps sur le parvis de l’Abbatiale.
La victime, un homme maître-verrier, serait tombé depuis un des toits selon ce que l'on sait actuellement.
Mais plusieurs questions se posent rapidement, s'agit-il d'un accident, d'un suicide ou d'un homicide et en question subsidiaire que faisait ce professionnel sur les toits de cet édifice?
A l'heure qu'il est cette question ne peut-être tranchée par le policier, en tous-cas pas avant que le médecin légiste ait procédé aux examens habituels sur le corps de la personne décédée et transmis son rapport.
En attendant, le capitaine de police observe le corps et remarque tout-de-suite sa curieuse position, ce qu'il constate l'intrigue et même: le taraude!
Elle lui rappelle quelque-chose qu'il se souvient avoir déjà vu, mais où et quand?
Ça date de son enfance il ne sait plus...
Au fil des heures, progressivement, les souvenirs reviennent à la surface, c'était lorsqu'il était enfant, cette position il l'a vue sur l’un des vitraux de l'abbatiale Saint-Ouen de Rouen, un vitrail fabriqué par son grand-père, son chef-d’oeuvre que ce Maître verrier avait réalisé pour la fin de ses études...
Tiens, encore un maître verrier, décidément ça fait déjà deux dans cette affaire, ça n'est sûrement pas un hasard.
Effectivement, Mège découvre alors que cet homicide avéré par le rapport du légiste serait lié à un mystérieux secret qui
hanterait sa propre famille depuis deux générations…une introspection familiale va avoir lieu.
Pas facile d'en savoir plus quant il s'agit de tels secrets embarrassants visiblement liés à la période de l'occupation, une situation proche de l'omerta, et à plus forte raison quand il s'agit de sa propre famille.
L'officier de police judiciaire va en fait rendre visite à son père qui est actuellement à raison d'une fois par semaine en soins à l'hôpital de Rouen, c'est sous la conduite de la jeune-femme blonde, semble t-il garde-malade du père, Jeanne, qu'il effectue cette visite.
Là il est amené à poser des questions "de famille" à son père qui commence à lui conter l'histoire qui s'est déroulée à l'époque où il était enfant et dans laquelle, son père était un des protagonistes, et le fils de l'aïeul le témoin direct avec d'autres enfants.
Le grand-père de Didier Mège et ses deux associés auraient passé sous silence une trahison dont l'un d'entre-eux serait coupable.
Il aurait trahi celui qui fut arrêté par les allemands au cours de la seconde guerre mondiale...celui-ci ayant été à l'origine de la découverte d'un procédé révolutionnaire basé sur l'art et la technique des vitraux.
La jalousie, l'attrait de l'argent étant visiblement les moteurs de la dénonciation.
Une période troublée s'il en est: la collaboration, la trahison, le règlement de compte et la délation étaient en ces temps monnaie courante.
Serais-ce dans ces domaines que l'aïeul se serait lui aussi illustré?
En fait, l'aïeul aurait été coupable de ne pas avoir tenté de demander des comptes au responsable de la dénonciation. Coupable de n'avoir pas avoir tout-fait pour connaître la vérité
sur la mort de l'un d'eux et de son épouse, dans un accident probablement provoqué, accident dans lequel seule la fille du couple aurait survécue...
Quid de l'enfant en question, là le père de Didier reste évasif mais plus certainement, incapable de renseigner son policier de fils.
Le capitaine Mège rencontre parmi les témoins du meurtre, une femme qui n'est autre que la sienne passée, Marianne, dont il est divorcé et qu'il a failli ne pas reconnaître.
Elle n'en est pas étonnée...
Elle est actuellement guide affectée à l'Abbatiale avec, semble-t-il, un fort ressentiment contre son ex.mari...
Ce dernier, Didier Mège, n'a pas été très attentif, ni très digne lors de ce divorce, par correspondance et avocat interposé.
Ayant quasiment disparu de la circulation, après son départ de Rouen, où il avait été sanctionné pour ne pas avoir respecté la volonté d'un Procureur de la République...
Et qui avait infligé des sanctions disciplinaires: une mutation et une dégradation au policier Mège.
Dans son enquête, l'officier Mège est aidé par une journaliste qu'un mystérieux indicateur renseigne par le biais de lettres et documents déposés dans le bureau du journal en question sans que personne sur place, soit en mesure de donner la description du messager...ou de la messagère.
Et sans que la-dite journaliste sache les raisons pour lesquelles elle a été choisie.
L'aide en question de Eve Chêne n'était pas vraiment souhaitée par Mège, mais en raison du choix du corbeau, celle-ci s'est imposée au fonctionnaire de police.
De fait, Chêne l'autorise à enquêter comme son métier le
commanderait mais, en raison d'une affaire d'homicide, elle doit au minimum, s'assurer de la neutralité de l'enquêteur la concernant.
Cette dernière va d'ailleurs jouer le jeu dans cette affaire.
Le mystérieux informateur commence à livrer des éléments s'agissant des membres de la famille Mège.
Ce qui n'arrangerait pas Didier, si les-dites infos étaient publiées telles-quelles. Il risquerait un dessaisissement de l'affaire.
Il ou elle indique entre-autre une énigme concernant les coordonnées géodésiques permettant de résoudre en partie certain mystère lié à ce meurtre ou plus exactement à la genèse qui y a présidé.
Il s'agit d'un point situé dans le centre de l'Abbatiale Saint-Ouen de Rouen.
Selon les dires du père Mège, c'est précisément à cet endroit que
l'un des aïeux dénoncé a été arrêté par les allemands.
Il est un rapport entre cette arrestation et les vitraux de l'édifice religieux...
En effet, les aïeux de plusieurs familles amies qui étaient membres de la résistance, utilisaient les-dits vitraux pour faire passer des messages à l'armée secrète.
Et ajoute Dominique Mège, certains de ces messages, y figurent toujours.
L'informateur anonyme était donc très au courant des codes utilisés par la résistance...et question subsidiaire: l'informateur est-il lié directement à la mort de la victime?
C'est bien possible, voir même probable, seul le motif est encore difficile à cerner.
Et pourtant Didier l'a sous le nez depuis son arrivée chez son père...
L'enquêtrice officieuse, la journaliste, tel le chien policier va fouiner dans le passé avec plus de facilités que les officiels, tenus au respect de procédures administratives, judiciaires et policières.
Elle va retrouver la piste de l'enfant qui a survécu à l'accident...et découvrir le lien en rapport avec l'informateur anonyme qu'elle identifie par une photo.
Et qu'elle indique par sms à l'officier Mège qui se trouve encore à l'hôpital, seul avec son père maintenant, Jeanne s'étant évaporée.
Et, avec de bonnes raisons, semble t-il...
Effectivement il l'avait à portée immédiate...actuellement un peu moins !
Il est facile de déduire le nom de celle-ci...il s'agit bien entendu de la blonde Jeanne.
Lien-replay ci-dessous à valider après diffusion:
Replay-Revoir "Meurtres à l'Abbaye de Rouen"<
Image ci-dessous scène de tournage de Meurtre à l'Abbaye de Rouen"à Labouille
Autre série de polars: