
Samedi 23 Novembre 2019 à 15H20 mn: à la date

d'aujourd'hui, il y a eu 137 féminicides depuis le 1er janvier 2019 c'est une HONTE que des femmes soient tuées pour RIEN, au 21ème siècle, dans un pays dit civilisé, LA FRANCE...
Il faut enfermer les criminels en puissance! Et dès la 1ère menace.
Jibé adm.du Blog
Suite: Le collectif féministe #NousToutes organise également des marches dans des dizaines d'autres villes de France, à deux jours de la présentation des mesures issues du Grenelle des violences conjugales.

• #NOUSTOUTES Le cortège de la manifestation contre les violences sexistes et sexuelles est parti à 14 heures de la place de l'Opéra à Paris.
Il rejoindra la place de la Nation plus tard dans l'après-midi.
Une trentaine de marches sont également prévues en province, notamment à Lille, Marseille, Bordeaux, Toulouse ou encore Rennes. #FEMINICIDES
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De nombreuses organisations et personnalités mobilisées. Près de 70 organisations, partis politiques, syndicats et associations

(Planning familial, CGT, CFDT, EELV, LFI, PS, Unef, PCF, SOS homophobie...) et plusieurs personnalités, dont les comédiennes Muriel Robin, Julie Gayet ou Virginie Efira, ont appelé à rejoindre le défilé. Dans les lycées et les universités, une centaine de groupes de jeunes se sont également constitués pour y participer. En tête de cortège, l'Union nationale des familles de féminicide (UNFF) défilera pour "dénoncer le mépris que l'Etat oppose aux familles", a déclaré sa présidente Sandrine Bouchait.
"Mettre la pression sur le gouvernement".

Pour Anaïs Leleux, membre du collectif #NousToutes, l'objectif est d'être "un maximum dans la rue pour mettre la pression sur le gouvernement", à deux jours de la Journée internationale pour l'élimination des violences faites aux femmes et des annonces conclusives du "Grenelle" promises par l'exécutif.
16-11-2019:Pour lutter contre les Féminicides, il ne faut pas y aller par quatre chemins et traiter prioritairement ce problème .

Les hommes qui menacent leur femme, leur compagne, de les tuer doivent être extraits et éloignés de la résidence du couple dès que la menace a été prononcée.
Il y a urgence, plus de 130 femmes tuées en 2019, et tant pis pour ceux qui sont en situation de perpétrer le crime d'une femme, quitte à les mettre en cellule.
Au besoin, il faut une loi permettant de protéger ces femmes, même contre leur gré car, dans certains cas, celles-ci hésitent à déposer plainte, craignant des mesures de rétorsion de l'homme violent, un tueur en puissance.
L'ex-procureur de la République de Douai, Mr Luc Frémiot juge que la secrétaire d’État, Marlène Schiappa est « complètement à côté de la question » avec son Grenelle organisé en septembre.
Celui- là même qui est spécialisé dans la lutte contre les violences conjugales, estime qu’il faut d’abord prendre en compte les plaintes.
« Pourquoi les plaintes ne sont pas reçues ?

Tout simplement parce que les femmes ne sont pas reçues comme elles devraient l’être dans les commissariats.
On ne prend pas les plaintes qu’on devrait prendre.
Certains services de police prennent encore des mains courantes.
Vous avez encore certains procureurs de la République qui ne traitent pas les plaintes.
La question, elle est là. »
L'ex proc estime que ces femmes victimes de violences conjugales « ne sont pas prises au sérieux comme elles devraient l’être ».
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