CETA: dommageable pour les éleveurs Français. Une rentrée à risque
08.08.2019
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Par jibéplus
Malgré l'été le temps s'annonce maussade pour l'exécutif:
Mr Macron en tant que président de la République a accepté le CETA et s'apprête à faire de même pour le Mercosur...
Certes, le président des riches n'en a que faire tant il est phagocyté par les financeurs de sa campagne électorale passée qui l'a conduit à occuper le Palais de l'Élysée avec un score somme toute plus que réduit.
Pour ceux qui sont susceptibles de payer l'ISF (l'impôt sur la fortune) qu'il a supprimé dès son arrivée au pouvoir, tout va bien actuellement.
Sa première action a été pour les français les plus fortunés, il a du lâcher du leste par une pression forte des gilets jaunes.
Résultat fut une France dans le rue, l'émergence du mouvement spontané dit des Gilets Jaunes et depuis un malaise social qui frappe les plus humbles des français et qui génère depuis toutes sortes de manifestations anti LREM actuellement dirigées contre des députés du parti présidentiel, anti Macron, anti exécutif ou de tout ce qui y ressemble de près ou de loin.
Le CETA mais peut-être aussi la réforme des retraites sont aussi les gouttes d'eau qui vont relancer des actions syndicales et des mouvements de désapprobation de ce capitaliste ravageur qui
n'aura des suites positives que pour les États-Unis, certains pays d'Amérique du Sud s'agissant du Ceta mais il va fragiliser nos éleveurs, nos agriculteurs, ceux-ci qui n'avaient pas besoin de cela.
La rentrée risque bien d'être chaude et ce président a intérêt à bien se reposer au Fort de Brégançon, dans le Var.
Il en aura besoin c'est ce que tous les commentateurs politiques, quelques soient leurs bords, prédisent à l'envi...
Pas très doués pour faire avancer les choses dans le bon sens malgré leur appellation de « marcheurs », les ministres profitent de vacances pas vraiment méritées. Mais ont-ils le cœur léger au moment de se reposer loin des soucis des ministères parisiens ? Pour un certain nombre, les vacances riment avec l’angoisse de ne jamais retrouver leur ministère, car l’idée d’un énième remaniement ferait son chemin dans l’esprit d’Emmanuel Macron. Ses conseillers se pressent dans les rédactions pour souffler le chaud et le froid, mais il paraît indispensable de renouveler quelques têtes afin de donner le change un peu plus longtemps.