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"Sauve qui peut ?"
Une opération de com, selon de nombreux politiques et politologues...
Dans une tribune publiée dans le Journal du Dimanche, ces 72 élus font allégeance au président Macron, des traitres à la cause de leur parti "Les Républicains" qui craignent de ne pas être réélus...commentent certains journalistes.
Certains de ces nombreux commentaires de la presse nationale, laissent entendre qu'il s'agit là d'une opération de com inspirée par le gouvernement et le président.
C'est vraiment un "sauve qui peut"?
On appelle ça "Aller à la Soupe", c'est leur cas et ce d'autant plus que l'on apprend que, parmi eux, la plupart ne sont pas à jour de leurs cotisations et comme le faisait remarquer un autre élu LR qui s'exprimait le dimanche 9 Juin 2019, sur France info, "ils ne font que confirmer qu'ils n'étaient plus des militants de ce parti"...
C'est "une armée de béni oui oui" selon cet élu qui lui, reste fidèle à son parti.
Et même si nous ne partageons pas ses idées, à Blogouvert, nous respectons ce dernier...et sa démarche! Pour les autres disons que leur fiabilité est voisine de zéro...
On peut imaginer, qu'ils ne font que s'exécuter avec probablement l'aval ou la suggestion, voir la manipulation de Mr Macron et de ses fidèles...un sale coup politique dont ils ne sortiront pas grandis. Ni les uns ni les autres!
Puissent leurs électeurs leur envoyer un message clair quand à leur manque de convictions politiques, ce serait une belle punition.
Rien de sur à ce jour, mais les élections municipales ne sont pas pour demain.
Généralement, le peuple de France n'a pas beaucoup d'admiration pour les traîtres.
Ce qu'ils sont, à n'en pas douter!
Valérie Pécresse connaissait t-elle la manip s'agissant des 72 anciens membres de Les Républicains?
On ne sait aujourd'hui, toujours est-il qu'elle reste sur ses déclarations des jours passés.
“Totalement incompréhensible”. La décision de Valérie Pécresse de quitter Les Républicains ce mercredi 5 juin a semé la consternation dans les rangs de la droite, où les principaux ténors ont immédiatement répliqué en appelant à l’unité dans la tourmente. “Dans les moments difficiles, on ne quitte pas le navire”, a tonné le wauquiéziste Éric Ciotti tandis que l’ancien filloniste Bruno Retailleau appelait à “sortir des logiques personnelles” pour initier “la refondation de la droite”.
LIRE SUR LE JDD, les noms des 72 élus qui quittent le navire Les Républicains:
Les élus signataires :