Air France - KLM: Raid boursier des Pays Bas sur le capital. Pourquoi?

"Zone de turbulences pour la compagnie binationale"

Le gouvernement français de débutants s'interroge sur les raisons qui ont poussé l'Etat Hollandais à prendre 14% du capital de la holding AF-KLM.

A notre sens, c'est très simple, l'image de la France depuis une année voir plus s'est fortement dégradée avec les atermoiements et les bévues de nos dirigeants, président de la République compris.

Et bien sur, quand le roi Macron est allé faire la morale aux uns et aux autres pays membres de la Communauté Européenne et ce qui se passe chez nous en ce moment des choses que l'on a jamais vu ailleurs, ça inquiète et en + on se moque de la France.

Vengeance comme tu es douce!

Pour dire les choses de façon plus abrupte, nos voisins n'ont pas confiance en les actions de nos dirigeants politiques et dans le cas présent dans la direction d'AF KLM , le canadien Ben Smith.

Rien ne fonctionne normalement, on lance des ballons d'essais pour tester l'opinion publique et les médias, bref, le navire France n'a plus de capitaine, il va de Charybde en Scylla.

Devant tant de désordres et d'incertitudes, nos partenaires s'inquiètent légitimement et dans le dossier Air France-KLM les dirigeants des Pays-Bas n'ont trouvé aucune autre parade pour maintenir leurs intérêts, pour rassurer leurs opinion publique et les milieux politiques nationaux, d'où ce "raid hollandais" sur le capital de la compagnie.

Ce vendredi 1er mars 2019, Monsieur Le Maire reçoit son homologue Néerlandais, Wopke Hoekstra...pour se dire lkes choses qui fâchent.

Selon Guy Dutheil  journaliste chargé des transports au Monde

sur un tchat du quotidien Le Monde: 

Il semble que ce soit surtout les dernières évolutions managériales d’Air France-KLM qui ont motivé les Néerlandais. Avec la nomination du Canadien Ben Smith, à la direction générale, Ils redoutent une intégration de plus en plus forte de KLM dans l’alliance avec Air France, et donc une perte de l’autonomie de la filiale batave de la compagnie franco-néerlandaise.

La classe politique dans son ensemble et nombre de syndicats néerlandais soutiennent le raid boursier, car KLM fait partie des quelques entreprises symboles pour les Pays-Bas avec Shell, ABN Amro et l’aéroport de Schiphol.

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