Gilets Jaunes:Le gouvernement et le président "préfèrent le sécuritaire au politique"

Certains tel un syndicat de police regrettent que le Premier ministre et par le fait le président de la République préfèrent prendre des mesures sécuritaires plutôt que des mesures politiques.

Le pouvoir est déboussolé et il n'arrive pas à agir intelligemment en acceptant pas de revoir la vision que Mr Macron a de ce qui est bon pour la France et de fait, pour les Français.

Le président a été élu par erreur, mal d'ailleurs et son élection n'a été assurée que parce qu'il avait en face de lui au second tour de la présidentielle, Marine Lepen.

Selon Alexandre Langlois du Syndicat VIGI CGT Police  :  les policiers " sont fatigués, ils voudraient voir leurs familles, ils sont sur le pont tous les week-ends, parce que ce gouvernement préfère une réponse sécuritaire plutôt que de trouver une solution politique. Nos collègues en ont vraiment ras-le-bol d'être utilisés et de prendre les coups à leur place." Leur sont les politiques bien entendu!

L'exécutif temporise en envoyant les forces de l'ordre par entêtement et Macron n'y va que de ses petites phrases dont il a le secret...il ne gérera pas le pays contre une majorité de Français qui, de toutes façons lui feront payer la note lors des prochaines échéances électorales et à la fin du quinquennat.

Quand à la grogne sociale, elle continue de s'exprimer par les stylos rouges, les enseignants qui s'estiment oubliés.

On avait le président des riches, c'est maintenant un président et un gouvernement des riches puisque Mr Le Maire ne veut plus que les 20% des Français les plus riches continuent à payer la taxe d'habitations; un virage à 90° par rapport à ses propositions évoquées il y a 24 heures...

Dans notre pays à ce jour il vaut mieux être riche que humble...j'ai participé à mon niveau à l'élection de ce président, je ne persisterai pas, déçu par le comportement du président et maintenant de son gouvernement réactionnaire.

Jibé Adm.Blogouvert

LIRE l'article de Franceinfo:

Loi contre les "casseurs", dispositif de sécurité renforcé... Ce qu'il faut retenir des annonces d'Edouard Philippe après les manifestations des "gilets jaunes"

Edouard Philippe a annoncé que 5 600 personnes avaient été placées en garde à vue et quelque 1 000 condamnations avaient été prononcées par la justice depuis le début de la mobilisation.  LIRE<

du JDD:

"Les profs sont les grands oubliés" le JDD<