Mise à jour du 16 mai 2013
Capture dimages de PBLV de FRance 3:Le feu au bar du Mistral...ça vient de la cuisine. Martial a encore bidouillé quelque-chose...Oui et à dessein! Intrigue en cours"le jeune belge Martial, soit disant cousin de Mélanie a débarqué dans le quartier et il tente - en dissimulant sa personnalité sous des maladresses extrêmes assurément feintes, touchantes pour certains, pénibles pour d'autres- de mettre la main sur le bar de Roland et l'hôtel le Sélect de Mirta.
Certes, le personnage est cynique et claculateur...mais n'est-il pas en finalité "un handicapé de la vie? Son père, escroc de haut-vol le leui rappelait dernièrement, se moquant de lui. Dans le cadre d'une tentative de captation partielle d'un héritage, Martial avait, au dernier moment et alors que son affaire malhonnête se présentait bien, abandonné une possible part du-dit héritage afin d'être agréable à l'ayant droit, une femme tombée gravement malade entre-temps. Alors cynique et calculateur oui, mais au grand-coeur en finalité"...
En image ci-dessus de gauche à droite : Martial et Jacques Hébrard, belges
Mirta est dans tous ses états! C'est ce soir que la fameuse réunion de solidarité envers elle st tient au bar du Mistral. C'est sa dernière chance de ne pas voir 40 ans de labeur dans seon établissement, s'en aller en fumées...Elle est fébrile Mirta, et roland a toutes les peines du monde à la ramener à la raison, à la faire se calmer...
Et demain, elle doit remettre un plan de financement et un planning des travaux serré, faute de quoi c'est la cata: elle devrait fermer le Sélect. Mais tous y compris Wanda qui lui réservait un chien de sa chienne, se battent avec elle pour éviter la cessation d'activité.
Abdel hêle Guillaume sur la place, son père n'est pas bien. Leserman pense à une grippe, dans ce cas, sa venue n'est pas urgente. Abdel insiste et finit par lui avouer qu'il perd beaucoup de sang. Il est blessé...Guillaume comprend et lui indique qu'il est obligé déonthologiquement de déclarer toute blessure par balle. Abdel espérait plus de compréhension de sa part. Il réléchit et finalement accepte de se rendre de suite au chevet de Karim. Il demande si la balle est dans la plaie ou si elle est ressortie. Il confirme qu'elle n'est plus dans son corps...
Riva rentre au café avec du matériel dans les mains...une machine à faire des bulles pour ce soir. Thomas hoche la tête et se moque de lui. Riva insiste et explique qu'au moment où certains s'exprimeront pour convaincre les derniers réclacitrants ou personnes étrangères au quartier, il everra les fameuses bulles "quelque-chose de poêtique" ajoute t'il. Voyant le peu d'intérêt de son mec pour son idée, il parle de "poésie décâlée".
Martial s'inquiète auprès de Mélanie pour ce soir, mais pas pour les mêmes raisons, sa langue fourche et il manque depeu de révéler son véritable état d'esprit sur le sujet...et a toutes les peines du monde a rétropédaler.
Mélanie ne semble s'apercevoir de ce qu'il craint en fait: que ça marche et que son arnaque foire comme les autres fois.
Le médecin arrive chez Fedala, il se fait préciser certaines informations sur l'heure à laquelle il a commencé à avoir de la fièvre. Il procède à une injection d'antibiotique, donne des antidouleurs et précise qu'il n'est jamais venu et que, si l'état de Karim se dégradait, ils devront appeler quelqu'un d'autre. Karim a eu de la chance, il n'y a pas de septicémie.
Avant de partir il dit au fils que c'est la 1ère fois qu'il leur rend se service, c'est aussi la dernière...
Roland est dans la cuisine et râle car il ne retrouve rien dans ce capharnaüm. Il veut aussi que son fils vire la machine à bulles. Il se fait expliquer par Thomas ce que ça va apporter, lorsque les bulles seront en l'air, ce sera magique, les gens sortiront les billets de banque et les carnets de chèque...magique! Martial apprécie et trouve l'idée géniale. Roland est plus nuancé, comme d'habitude, il trouve que c'est de la foutaise.
Dès que Roland s'absente le belge bricole et sabotte la machine afin qu'elle ne puisse "enchanter tous ses friqués" qui pourraient pour une fois être sensibles à la poésie plutôt qu'au CAC 40...
Guillaume vient voir Mirta qui a des palpitations, il l'examine, elle a "un peu de tension" et "il faut manger léger" et aussi "se reposer" et il ne lui donnera pas d'anxiolytiques.
Elle souhaitait qu'il le fasse et lui avait même suggéré...
Chez Fedala Elsa et Abdel parlent fort, il pense que son père n'a rien à fouttre de lui.
Elle rectifie, si il s'est pris une balle c'est de la faute à Abdel, il a fait organiser l'évasion de Catherine par Moussa et maintenant il lui est redevable de services et c'est justement alors qu'il rendait un des services qu'il s'est pris une balle.
Abdel se calme, la donne n'est plus la même.
Samia arrive pour voir Abdel sur ses entrefaits...elle ne reste pas trop longtemps car elle ressent une tension palpable. Il y a de l'électricité dans l'air.
Douala sort du salon de beauté, Benoit est sur la terrasse avec sa fille, qui lui fait remarquer la présence de Sarah.
C'est le moment pour qu'il lui parle, conseille t-elle.
Il court derrière, la rattrappe et s'emberlificotte dans ses déclarations et finalement, ne lui dit pas ce qu'il aurait fallu qu'il lui dise. Mieux, elle part fâchée...Nul!
La soirée de solidarité avec Mirta débute...elle est tendue, discute avec Vincent qui la rassure voyant son anxiété.
Il la trouve normale en réponse à la question de Torrès.
Il explique que ceux qui sont venus avec lui sont des amoureux de Marseille.
Elle propose d'aller les voir, il pense que ça n'est pas une bonne idée.
Wanda demande le silence et s'exprime "le Sélect est indispensable à ce quartier, il est son poumon" termine t-elle...
Tout à coup, Martial crie au feu!
Effectivement, de la fumée sort de la cuisine, là où était la machine à bulle qui commence à les laisser s'échapper d'ailleurs...c'est la panique, tous se dirigent vers la sortie. Tous, pas vraiment...
Au commissariat, Rodrigue est venu attendre Sarah, une rose à la main. Il avoue avoir eu tord de vouloir organiser cette fête.
Il regrette sa bévue et il a décidé d'annuler.
Elle dit que finalement, qu'il l'organise elle avait un peu de craintes de rencontrer sa mère mais elle affrontera cette situation courageusement . Elle n'est plus une petite-fille!
Ils s'embrassent et quittent les locaux de la police réconciliés.
Ouf! On a eu peur que le prime soit annulé aussi...
Sur la place du Mistral, c'est la panique et les invités attendent tous les pompiers. Gabriel s'aperçoit que Thomas n'est pas parmi eux. Il a du rester à l'intérieur...Ils l'aident à sortir.
On entend la sirène des soldats du feu, au loin. GFuillaume va de l'un à l'autre pour tenter de déceler les cas urgents.
A son père, Abdel dit regretter ce qui s'est passé.
Elsa lui a tout-dit, il sait maintenant que c'est Moussa qui a fait évader sa mère et que son père lui est redevable pour cette raison.
Karim dit à son fils, d'arrêter de dire n'importe quoi, c'est lui qui a décidé. Il assumera jusqu'au bout...seul.
Sur la place, Martial dit penser que c'est de sa faute si ils doivent fermer l'hôtel et il ajoute que son père a beaucoup de sous, il a une agence immobilière à Bruxelles, il peut réparer et sauver l'hôtel de madame Torrès... c'est de sa faute, il amène la scoumoune partout où il passe.
Mais Roland et Mirta déclarent que ce n'est pas le moment de parler de ces problèmes. Il doit aller en observation à l'hôpital...et ça n'est pas de sa faute.
VIDEO EXTRAIT de l'EPISODE DU JOUR