05 juin 2011
B.O. : L'exemple de ce que doit combattre la France, le repli identitaire, le communautarisme...on ne peut laisser un peuple quel qu'il soit s'organiser en France en marge de la société nationale. L'accueil de réfugiés politiques est une bonne chose mais elle crée à ceux qui en bénéficient des obligations: ne pas fonctionner en autarcie sauf, donner lieu aux débordements de violences comme ce qui s'est produit à Arnouville. Un comportement inadmissible. Le non respect des lois et règles du pays d'accueil. Une bien mauvaise chose qui serait de nature à faire réviser la législation appliquée aux réfugiés politiques. C'est ce qu'on appelle "se tirer une bale dans le pied"...
Par ailleurs, l'hexagone ne peut pas devenir une base arrière d'un mouvement politique quel qu'il soit, quelle que soit sa légitimité, pour organiser des violences dans un autre pays...et à plus forte raison en France.
Une règle qui doit impérativement être respectée par tous les "demandeurs d'asile" qui sont sur notre territoire. C'est la moindre des choses et la règle élémentaire de savoir vivre en contrepartie des mesures d'accueil.
« On ne fait pas de bruit. On veut juste qu’on nous laisse tranquilles », martèle Levent. Un cri repris en chœur par les commerçants de la gare de Villiers-le-Bel.
Samedi, des heurts ont éclaté entre la communauté kurde et la police, dans un quartier plutôt calme. Lire
Les débuts de l’affaire : http://yahoo.bondyblog.fr/201106041501/heurts-violents-a-la-gare-de-villiers-le-bel/
Dans le quotidien LE MONDE:
Une opération policière visant le PKK aboutit à des heurts avec la communauté kurde à Paris
Dans Libération:
Plus de 1500 personnes ont protesté contre l'interpellation la veille dans le Val-d'Oise de ces cinq hommes, dont trois seraient des cadres du PKK. Les forces de l'ordre avaient déjà subi des jets de projectiles samedi.
Le ministère de l'Intérieur français a présenté dimanche les trois personnes interpellées comme des «cadres importants» du PKK en France. Ils ont été arrêtés dans le cadre d'une enquête de plusieurs mois menée par la sous-direction antiterroriste, sur instruction du parquet antiterroriste de Paris. À l'origine de la procédure figurent «des plaintes pour extorsion de fonds qui devaient servir au financement d'activité terroristes menées par le PKK», selon le porte-parole du ministère.