Les Français parient sur une radicalisation des conflits sociaux

• Le président doit entendre les Français qui ont défilé
  
• le 19 mars 2009, la paix sociale en dépend!
  
• Dans un article daté d'aujourd'hui, le Figaro, non suspect d'être un "canard" de gauche révèle que les Français parient sur une radicalisation des mouvements sociaux; la raison, un gouvernement et un président qui font la sourde oreille alors que des millions de manifestants ont défilé le 19 mars dernier pour signifier au pouvoir en place leur mécontentement et leurs angoisses que Nicolas Sarkozy n'a pas levé, loin s'en faut. Un certian nombre de députés de la majorité ont pris des positions radicales au sénat et à l'assemblée nationale mais leurs positions ont été marginalisées par l'action de Mr Copé et des ministres en charge des finances publiques; ils tirent la sonnette d'alarme sans être entendus. Dommage car l'ambiance risque de s'en ressentir car la France  profonde crie à l'injustice flagrante. Est-ce  celà le nouveau capitalisme que l'on nous propose?
  
• Le pouvoir devrait avoir un comportement plus ouvert à la discussion, au dialogue  alors que beaucoup ont le sentiment, à tord ou à raison, qu'il n'y a pas de véritable écoûte envers le citoyen lambda et que seuls les "nantis" (ceux concernés par le bouclier fiscal entre-autres) semblent entendus du président de la République.
  
• Les Français parient sur une radicalisation des conflits 
  

  
  

  71 % des sondés pronostiquent des actions violentes dans les semaines à venir, selon OpinionWay.

• 71 % des sondés pronostiquent des actions violentes dans les semaines à venir, selon OpinionWay.

  

  PLUS que la mobilisation de jeudi, qui a vu entre 1,2 million et trois millions de personnes défiler un peu partout en France, c'est la violence de certains conflits locaux qui retient l'attention des Français. Tel est le principal enseignement du sondage OpinionWay-Le Figaro-LCI réalisé après la grève du 19 mars. Près de trois sondés sur quatre, 71 %, pensent en effet que le pays va connaître dans les semaines à venir « une radicalisation des conflits et des actions violentes ».

  
  »L'intégralité du sondage en pdf
  

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• Les syndicats temporisent
  pour préserver leur unité 
  

  Aucune nouvelle journée d'action n'est annoncée pour le moment ; une nouvelle réunion entre les huit centrales est programmée le 30 mars.
  

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