Alors que toutes les références économiques volent en éclat, que chaque pays essaie de faire en sorte que la crise ne soit pas plus grâve pour ses ressortissants et que l'économie continue à fonctionner cahin-caha, les membres de cette Commission interfèrent dans les plans de plusieurs Etats.
On se demande pourquoi et on se demande surtout si des membres élus de leur pays d'origine grassement rémunérés ne doivent pas en ces temps difficiles mettre en veilleuse leurs stupides réactions de redresseurs de tords (enfin c'est comme celà qu'ils se voient) et qui datent d'autres-temps... d'avant la crise. Mais il est vrai, la crise pour eux n'est qu'une formule vide de sens, creuse, assurés qu'ils sont de percevoir leur rémunération qu'il pleuve ou qu'il vente et quelle que soit la santé financière des Etats en question. Il faudra quand même un jour remettre en ordre ce fonctionnement de la dite Commission qui semble être à mille lustres des réalités de terrain; celle-ci fait dans le virtuel en appliquant des textes et c'est bien celà le problème en cette difficile période charnière de changement de société économique.
Espoir! Oui, elle tiendra quand même compte de circonstances exceptionnelles de la crie économique.
Non, vraiment, une crise économique?
Image jpg Siège de la Commission Européenne à Bruxelles
jibé
"C'est quoi, la Commission Européenne ?"- Le lien :http://europa.eu/institutions/inst/comm/index_fr.htm
Face à des plans de relance qui vont creuser considérablement les déficits budgétaires, notamment de la France et de l'Allemagne, en 2009, la Commission européenne a lancé mercredi la procédure dite de "déficit excessif" telle que prévue par le pacte de stabilité à l'encontre de six pays. Mais elle tiendra compte des circonstances exceptionnelles de la crise économique.
Outre la France et l'Allemagne, quatre autres pays sur les 16 que compte la zone euro sont également concernés par cette procédure. Il s'agit de l'Irlande, de la Grèce, de l'Espagne, de la Lettonie et de Malte.