Épidémie Coronavirus: l'Allemagne en pointe et la France à la traîne, comme dab...

Dim.05 Avril 2020: Certains aiment bien chanter les louanges de l'Allemagne et, avec raison.

Outre-Rhin, on mets les grand moyens, en France on dit aux personnes craintives qu'avec un bout de tissu ou une écharpe on va se protéger...grandeur et décadence de la République Française version Manu.

S'agissant de l'épidémie qui sévit actuellement, il a trois quarts de morts en moins mais, il faut dire qu'ils mettent le paquet, sans forcément le crier sur les toits comme les membres du gouvernement français et le président ne cesse de nous le rappeler.

L'exécutif français est brouillon, de plus il a réagit avec retard alors qu'outre-Rhin, ils testaient tous ceux qui devaient l'être, pas radins comme chez nous.

La supériorité de l'organisation alémanique et finalement la bonne rentabilité des sommes dépensées dans un souci d'efficacité.

De son côté le pauvre Edouard Philippe et son équipe de bras cassés font dans l'effet d'annonce, comme dab.

Des millions de masques commandés mais pas la quantité nécessaire à la protection des soignants et des patients mais aussi plus largement des français qui doivent se protéger par des morceaux de tissus coupés à la hâte et quelques bouts de ficelles, alors que de l'autre côté, les allemands sont équipés en première classe.

Ils se permettent même de soigner des français dans leurs hôpitaux...ils n'ont pas faits d'économies sur l'équipement et sur le personnel soignants par désintérêt pour la santé de leurs ressortissants, eux...

Pauvre gouvernement, pauvre président français...d'amateurs.

Pas étonnant que quand Macron intervient dans la sphère politique européenne ses homologues se moquent de lui...fort dans l'effet d'annonce et nul dans la concrétisation de ses propres propositions.

Lire l'article de Francetvinfo:

Coronavirus : pourquoi l'Allemagne semble-t-elle mieux gérer l'épidémie que la France ?<

Franceinfo a comparé la situation française avec celle de notre voisin outre-Rhin autour de trois critères : la politique sanitaire, l'état du système hospitalier et le financement de la recherche.