À la frontière Grecque, la frontière de l'Europe en fait, la force rapide de Frontex, l’agence européenne de protection des frontières, va très certainement être déployée prochainement.
La Grèce appelle l'Union Européenne à l'aide du fait de l'arrivée à ses frontières des migrants qui étaient retenus par les turcs qui ont toujours utilisé les-dits migrants comme une monnaie d'échange, un chantage...
Il n'est pas impossible que ceux qui s'agglutinent sur les frontières gréco-turques soient également triés sur le volet et utilisés afin de créer des désordres puisque, comme chacun le sait, il y a des échanges musclés entre ces réfugiés et les forces de sécurité grecques.
Quant à l'accord gréco-turque il n'a jamais été clairement établi et, à ce jour environ la moitié de la somme prévue pour les dépenses de la Turquie a été ou va être versée.
Compte-tenu du comportement du président turc, on peut imaginer que le solde de la somme non versée, sera conservée pour aider la Grèce.
La situation politique de Recep Tayyip Erdogan, en interne et en Syrie, a fragilisé l’accord conclu en 2016.
Quelle idée aussi, de passer un accord avec un homme si peu fiable et qui espérait que les sommes successives versées allaient alimenter directement le budget turc.
Ça n'est pas de cette façon que procède l'Union Européenne d'où, peut-être la déception de ce dictateur...aux prises avec des problèmes intérieurs.
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