20-11-2018: Des Gilets jaunes continuent sporadiquement de manifester bien après le samedi 17 novembre dernier...mais d'autres encore telles les infirmières se sentent "oubliées" et "méprisées" par leur ministre de tutelle.
Et pourtant pour ceux qui sont hospitalisés ces personnels sont essentiels pour soulager, pour soigner et pour soutenir parfois moralement leurs patients.
On ne souhaite pas à M.M. Macron, Philippe, Castagner et consorts de se retrouver prochainement hospitalisés comme d nombreux français car probablement ils seraient plus à l'écoute de ces femmes et de ces hommes qui doivent souvent travailler dans des conditions inadmissibles.
Quand 3 infirmières quittent un hôpital on embauche une nouvelle ce qui pose évidemment des problèmes à ceux qui restent.
Beaucoup se tournent vers une activité libérale d'infirmières à domicile qui sont mieux rémunérées avec quand même des conditions de travail plus valorisantes.
A force les hôpitaux embaucheront des infirmières venant d'Afrique, d'Asie, de pays de l'Est de l'Europe telle la Roumanie, la Serbie... ou même de pays limitrophes comme l'Italie ou l'Espagne.
C'est déjà le cas dans de nombreux établissements hospitaliers en Alsace entre-autres et ailleurs en France.
Macron n'écoute que les riches et les puissants et méprises tous ceux qui ne sont pas dans ce cas.
On le sait il se prend pour le roi au sein d'une République Française qui a rompue depuis bien longtemps avec cette monarchie.
Il se ballade en Belgique pendant que le pays est en effervescence.
Adm. "Blogouvert" et "Sondages & Tendances"
Article rédigés en commun par les deux blogs partenaires
Lire plusieurs articles de :
"L'OBS"
#InfirmièresOubliées Les grandes "oubliées" du plan santé se mobilisent ce mardi 20 novembre pour dénoncer le "mépris" du gouvernement...
"LE MONDE" :
Des manifestations ont lieu, mardi, pour dénoncer le « mépris » du gouvernement pour la profession.
Se sentant « méprisés » et « oubliés » par le gouvernement, les infirmières et les infirmiers se rebiffent.
Qu’ils exercent en libéral ou qu’ils soient salariés, les 660 000 membres de cette profession ont été invités par seize de leurs organisations syndicales à se rassembler, mardi 20 novembre, devant les préfectures de région ou devant le ministère de la santé, à Paris, afin de médiatiser leur « malaise » et faire entendre leurs revendications.
Une journée de mobilisation que les représentants des blouses blanches, réunis pour une conférence de presse lundi derrière le slogan « Infirmières oubliées », ont tenu à dissocier du mouvement des « gilets jaunes ».
FRANCE CULTURE.FR:
Leur dernière mobilisation d'ampleur remonte à 2016.
Mais la coupe est pleine pour les seize organisations infirmières qui appellent les 660 000 praticiennes et praticiens du pays à faire grève et à manifester ce mardi.
La profession s'estime maltraitée, méprisée même, par un exécutif qui, à ses yeux, ne reconnaît pas leurs compétences (ni leurs diplômes) à leur juste valeur. Le 18 septembre, Emmanuel Macron présentait le Plan Santé 2022. Un plan qui, d'après les syndicats infirmiers, sous-estime le rôle de l'infirmière dans le parcours de soins.
Nous allons au domicile des patients 7 jours sur 7, 365 jours par an
Pour Alain Rochois, du syndicat d'infirmières libérales Convergence infirmière, le rôle fondamental des infirmières dans le maillage territorial n'est plus à prouver. "Nous allons au domicile des patients sept jours sur sept, 365 jours par an, nous sommes le seuls à faire ça, quand les cabinets de médecins ferment le vendredi à 19h", explique-t-il.
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