Richard Ferrand macroniste de la première heure devenu président de l'Assemblée,
semaine dernière, par hasard, alors que l'on aurait pu espérer, pour une fois, que ce soit une femme, d'ailleurs plusieurs étaient candidates.
Que nenni!
Le Chef avait du donner ses ordres et le Chef n'aime pas qu'on lui résiste !
Rebelote cette semaine pour le nom de celui qui doit remplacer Ferrand en prenant la tête du groupe parlementaire LREM, c'est un homme, Gilles Le Gendre qui a été retenu...
Le président qui ne doit pas interférer dans le fonctionnement des deux chambres de l'Assemblée Nationale et du Sénat a récompensé les siens en se mêlant aussi des affaires parlementaires.
Il a déjà appelé le président du Sénat dernièrement s'agissant de l'affaire Benalla et de son audition par les sénateurs...ça commence à faire !
Il ne faut pas que le Sénat se mêle des affaires de l'exécutif certes, mais ce serait bien aussi que l'exécutif se mêle de ses oignons...il y a suffisamment à faire actuellement semble t-il !
Il parait que Le Gendre, c'était le choix de Ferrand, on veut bien le croire mais la ficelle est un peu grosse !
Lire un article paru sur le HUFFPOST <
Extrait ci-dessous: Achtung Herr Präsident!
Signaux d'alerte
Premier indice que la cohésion du groupe n'est pas au beau fixe: Richard Ferrand a été élu de justesse à la présidence de l'Assemblée, une frange du groupe LREM préférant voter pour le chef du Modem Marc Fesneau pour adresser, à peu de frais, un message de mauvaise humeur.
S'il demeure isolé, le départ de la députée des Hauts-de-Seine Frédérique Dumas pour l'UDI constitue un autre signal d'alerte. "Les fondamentaux du macronisme ont été oubliés. On confond vitesse et précipitation (...) Il faut un électrochoc" après plus d'un an de mandature, assume-t-elle en comparant le groupe LREM à l'Assemblée au Titanic.
Signe que le mécontentement des troupes macronistes est devenu un véritable enjeu politique, la plupart des candidats à la succession de Richard Ferrand avaient promis de revoir la "gouvernance" du groupe majoritaire, pour davantage de "transparence" et de valorisation des "talents".
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