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Sur France 3 Samedi 6 août 2016 à 00H35 "Le sourire d'Angelica" S9E1 Titre original "Il sorriso di Angelica"
Résumé de BlogOuvert:
Montalbano est réveillé par un coup de fil du commissariat, c'est le policier Catarella qui l'informe qu'il y a des plaignants cambriollés qui l'attendent, Montalbano leur fait dire qu'il les rejoints chez eux...
Livia est dans le lit, à côté de lui, il ne souhaite pas la réveiller.
Un couple de notables, les Peritore a été cambriolé alors même qu'ils étaient à l'intérieur de leur maison, laquelle est située en front de mer...ils étaient un peu pompettes après avoir fêté leurs 5 ans de mariage.
Ils feront une liste de tous leurs amis. Les cambrioleurs savaient qu'ils fêtaient quelque-chose et que le moment était bien opportun, ils auraient aussi visiblement utilisés un gaz pour endormir assurément les propriétaires.
Montalbano par une personne connaissant le milieu, apprend sur la promesse qui ne révélera pas ses sources que ça n'est pas quelqu'un du coin qui a fait ça. Il pense à des ferrailleurs...Catarella est chargé de faire la liste des ferrailleurs ayant eu des démêlés avec la justice pour des vols. Un ferrailleur est arrêté et pris la main dans le sac, mais apparemment l'affaire n'est pas liée.
Un peu plus tard le lendemain de ce vol, le commissaire Montalbano réceptionne un courrier anonyme pompeusement rédigé et l'informant que deux autres cambriolages auront lieu, il y est dit également que ces vols sont un défi et l'informateur pense que le commissaire a déjà relevé ce défi...
La question est de savoir si l'informateur est également le cambrioleur ou si c'est une personne bien informée et qui vend la mèche...
Quand l'une des autres victimes du monte-en-l'air, Angelica Cosulich, lui demande une faveur- ne pas révélée une information la concernant, elle trompe son fiancé fréquemment- le commissaire de police très touché par sa beauté accepte sans résister et, si sa hiérarchie lui reproche les faiblesses de son professionnalisme, elle permet toutefois à Montalbano, de profiter de ce "rapprochement"opportun pour lui dans la progression de l'enquête de police...mais quand elle veut le séduire, il refuse mollement conscient de la ligne rouge à ne pas franchir, venant même le relancer jusque chez lui, de façon intrusive.
Une invitation chez la dame se terminera dans sa chambre...imprudent!
Angelica serait prête à établir une liste des hommes, figurant sur la base de celle établie par les Peritore, certains des hommes s'intéressant de très près à elle. Peut-être de quoi permettre l'identification de l'auteur de la correspondance anonyme.
Car malgré les reproches qui lui sont faits, son enquête avance à grands pas, il s'aperçoit que les derniers événements en question ne sont que la partie émergée d'une affaire beaucoup plus grâve qu'il n'y paraissait au départ...car il y a mort d'hommes, ce dont sa hiérarchie ne pouvait soupçonner l'étendue, il est vrai.
Même Angelica va connaître quelques problèmes...deux hommes à moto lui tirent dessus alors que Montalbano venait de la prévenir qu'un appel anonyme laissait penser qu'elle était en danger de mort.
Blessée elle est hospitalisée avec contrôle policier des accès à sa chambre.
En fait, il s'agissait de vols permettant d'en couvrir un seul, la récupération de fichiers, de documents qu'un usurier possédait dans son coffre.
Etre abominable lequel avait tout au long de sa vie, de par son comportement malhonnête et cynique organisé des faillites qui se soldaient souvent par des suicides et par le pillage en règle des patrimoines familiaux restants ...parfois en association avec un mafieux.
Ce qui permit à un des héritiers d'un homme -l'auteur des lettres et du dernier coup de fil anonymes- que cette usure avait poussée au suicide, en collaboration avec Angelica dont les parents étaient morts pour les mêmes raisons, d'obtenir que le prêteur indélicat mette fin à ses jours, après qu'il ait été informé que ses papiers imprudemment conservés - sur ses agissements - seraient remis à la police ainsi qu'à ce membre de la mafia avec lequel il était en affaires.
D'ou une mort certaine pour cet usurier, qui en savait trop...et qui a préféré régler son sort, par lui même, en se suicidant.
Une affaire de vengeance...rien que ça!
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