MAJ
BANDE ANNONCE DE L'EPISODE
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Samedi 26 mai 2018 à 22h25
Sorti en 2014, durée 1H30
Deux chasseurs arpentent la forêt à la recherche de gibiers potentiels mais, l'attention d'un des hommes est attirée par une paire de lunettes sur le sol.
Intrigués, ils regardent autour d'eux et, s'approchant d'un plan d'eau, ils aperçoivent la tête d'un homme, flottant à la surface.
La police est prévenue de la découverte des chasseurs...et la police, dans le cas présent c'est la capitaine Valentine Duteil qui s'est rendue sur les lieux afin de faire les premières investigations, en compagnie de son adjoint.
Ce dernier évoque l'entretien de sa collègue avec le commandant Briare, vaguement inquiet.
Tout de go, elle lui confirme qu'il l'a nommée chef de groupe et en plaisantant, qu'il va devoir désormais lui obéir...
La médecin-légiste est déjà sur place et informe les policiers de l'identité de la victime : Pierre Marsac, 67 ans habitant Tressac, le village d'à côté...
Pas de traces de violences, plutôt un accident ou un suicide mais, elle en saura plus après avoir effectué l'autopsie du corps.
Valentine est étonnée, intriguée et elle se demande pourquoi il a perdu lunette et casquette 10 mètres avant le plan d'eau où il se serait noyé.
Un appel à temoin sera lancé et, les associations de chasseurs et de marcheurs seront mises à contribution dans ce cadre...
En fouinant dans les alentours l'opj découvre un impact de balle récent dans le tronc d'un pin correspondant à une arme de chasse.
En face, elle aperçoit un abri de chasseur dans lequel les deux enquêteurs se rendent et où ils trouvent, sur le sol, la douille de cartouche probablement correspondant à la marque d'un tir dans l'écorce de l'arbre.
Elle suppute que l'on aurait pu de là, tirer en direction de la victime, afin de la pousser à se diriger vers le marécage, de s'enfoncer dans les sables mouvants et de s'y noyer.
Ce qui correspond très exactement à la façon dont la scène s'est déroulée...
craignant semble-t-il qu'il ne la reconnaisse pas.
Alors qu'il l'invite à prendre un thé à son domicile, elle explique pourquoi elle vient lui rendre visite:
.
Elle semble persuadée qu'il ne s'agit pas d'un accident, mais qu'on l'ait tué.
Elle souhaiterait qu'il l'assiste en suivant l'enquête de très près, car elle tient à savoir ce qui s'est effectivement passé.
Et, dès ce soir, elle l'invite à souper, ses enfants étant au manoir pour quelques jours, ils devaient fêter l'anniversaire de Pierre, le mari...Drôle d'anniversaire !
L'homme était désagréable, manipulateur et faisait acte d'autoritarisme au niveau familial, les faisant marcher à la baguette.
Il était haï par beaucoup, y compris au sein du groupe familial.
de son ex-petite amie et, observant les uns et les autres, comprend qu'il y a un différent important entre les deux frères, différent relatif à la direction de la société: une imprimerie qui se voit confier, entre-autres par la préfecture, l'impression de documents officiels, tels que les permis de conduire, les cartes d'identités...
Il devine également, qu'une des belles-filles n'aimait pas trop ce beau-père autoritaire, égoïste et méprisant, qui semblait traumatiser une bonne partie de sa famille.
Les policiers-enquêteurs font leur rapport sur la mort de Pierre Marsac auprès de Briare, ce dernier est dans tous ses états car, la victime est très liée au Préfet, au Procureur, bref, ils souhaite du doigté et pas de vagues...craignant cela de Duteil.
Et quand il apprend que Mongeville s'intéresse à l'enquête, il est furieux et demande à ses opj de l'envoyer paître, ayant marre de l'avoir toujours dans les pattes.
Il sera plus modéré et moins vindicatif, lorsqu'il apprendra que le juge en retraite est un ami personnel du directeur de la police, que Mongeville conseille souvent à la demande de cette personnalité accessoirement le supérieur hiérarchique de Briare.
Il devra accepter à contre coeur que le juge retraité assiste aux interrogatoires dans le cadre de l'enquête en cours.
de son patron, le père Barsac et en dehors des heures d'ouverture des ateliers...
Madame Legrand fait, elle aussi, partie du personnel mais au titre du manoir dont elle s'occupe.
C'est grâce à une affaire de faux papier d'un conducteur qui n'avait jamais passé son permis et qui conduisait mal avec un faux permis de conduire, que l'affaire des impressions sur des imprimés filigranés au symbole de la République, que le nom de Pierre Barsac est cité...comme ayant pris des libertés avec la loi.
Afin de se racheter, il avait embauché le couple Legrand. Parallèlement, un témoin dit avoir vu une berline noire identique à celle de Jeanne Barsac à l'heure et le jour de la mort de son mari.
Mongeville fait appel à un ancien détenu qu'il a fait libérer pour qu'il ouvre le logement des Legrand, lesquels y planquent la preuve que Barsac faisait imprimer des faux documents: permis de conduire, cartes d'identité, assurance des véhicules...
C'est ainsi que Valentine, lieutenant de police et le juge Mongeville pénètrent illégalement dans une propriété privée.
L'épouse de Barsac devient la suspecte numéro un et rapidement, elle avoue qu'elle a tué son mari qui se trouvait avoir comme maîtresse la femme de son plus jeune fils.
Sauf que Mongeville ne croit pas à sa culpabilité.
Il le lui dit et dit également, savoir qui elle couvre.
Ceci car elle aimait ce mari tyrannique.
En fait le père Barsac le jour de l'accident ayant coûté la vie à l'enfant Barsac, avait insisté pour confier le volant à son petit-fils alors âgé de 13 ans.
L'enfant ne voulait pas mais le grand-père insistant il avait du lui obéir...le gamin avait peur de lui.
Cet épisode plus d'autres où le jeune était traité plus bas que terre avait au fur et à mesure des années créé un profond malaise et un fort ressentiment de haine du garçon envers son grand-père.
A tel point que c'est lui qui, armé d'un fusil de chasse chargé avait contrait Pierre Barsac à se jeter à l'eau en tirant à proximité de son grand-père et qu'il l'avait laissé s'enfoncer dans le fond mouvant du lac jusqu'à ce qu'il s'y noie.
Poussé à bout, il en était arrivé à cette extrémité et il avoua le meurtre à Mongeville, puis à Valentine Duteil et à son collègue en présence du juge.
Le jeune était en pleures et visiblement traumatisé par tous ces événements qui s'étaient succédé.
Il dit avoir considéré qu'il n'avait pas le choix...et qu'il s'était rendu au lac pour tuer son grand-père avec la voiture de Jeanne, sa grand-mère.
Les policiers emmènent le jeune meurtrier, menottes au point, afin qu'il soit jugé, tout en intégrant le fait qu'il n'avait que 13 ans lors de cet accident.
Mongeville indique à la grand-mère, Jeanne Barsac que le juge qui aura l'affaire est quelqu'un qui sait faire la part des choses, la clémence fera partie de son jugement, il en est sûr!
image jpg ci-dessus Credit : © Caroline Dubois / Son & lumières 2014
épisodes déjà diffusés :
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Ce dernier aurait proféré des menaces à l'encontre des deux juges qui l'ont fait condamner douze années avant, pour le meurtre de son épouse...mais voilà, Mongeville a des doutes quant à la culpabilité du mari.